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Face

citizen jazz, blogComme une conséquence naturelle des faits relatés dans ma précédente note, je vois le niveau de ma pile de disques en souffrance s’élever (j’en compte une douzaine dont je dois rédiger la chronique pour Citizen Jazz). Soucieux de la responsabilité qui est la mienne, je m’efforce d’établir des règles destinées à améliorer ma productivité. Planning raisonnable (ce qui signifie que je ne dois pas ignorer la nécessité du repos), prises de notes à la volée sur tous les supports à portée de main : carnets, téléphone, simples bouts de papiers, recoins de ma tête qui n’en demande pas tant… tous les moyens sont bons pour ne pas me laisser déborder. Je dois aussi (ré)apprendre à écrire plus court, plus juste, contrecarrer une tendance naturelle à l’épanchement - même si je ne m’interdis pas la possibilité d’un laisser aller vers de bienfaisantes parenthèses digressives. C’est aussi l’occasion d’un retour aux sources de ce blog qui se voulait light et quotidien lorsque j’ai mis en ligne sa nouvelle mouture au mois d’août 2008. Comme un sportif pratiquerait un jogging de remise en forme, je me fixe un objectif d’écriture, sinon quotidienne, du moins pluri-hebdomadaire et un thème constant : la musique. Et je repousse la publication de mon premier bouquin, pour ne pas m’éparpiller (mais le contenu des trois premiers est là, bien rangé, prêt pour une révision) : ce sera pour un peu plus tard. En attendant, je vous en propose la couverture possible. L’art de faire les choses à l’envers ?

Commentaires

  • C'est donc la couverture de ton premier livre, celui où tu parles de ta vie, de tes souvenirs d'enfance. Ce sont des PIECES DETACHEES de ton enfance...
    Moi aussi, j'ai décidé d'écrire un peu tous les jours, dans une suite possible d'histoire de 4 filles. J'y arrive mieux depuis que j'ai emporté un petit bloc où j'écris quelques pages entre midi et deux, seul moment où ma tête est libre.

  • En réalité, ce premier tome est consacré aux "aventures" qui me lient à mon pacemaker, d'où le terme de "stimulochroniques".
    Le titre générique est bien "Pièces détachées", et ceci pour deux raisons :
    - ce sont des textes un peu éparpillés que je rassemble en tentant de leur donner une cohérence (le second volume, consacré aux petits dérèglements du quotidien, s'appellera "Diachroniques" ;
    - j'essaie d'avoir toujours une vision distanciée de ces événements, de ne pas me laisser trop enfermer dans un propos égocentrique. D'où l'idée du détachement.

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