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vincent payen

  • Sur le chemin de Vincent Payen

    Find_My_Way.jpgVoilà un peu plus de deux ans maintenant que le trompettiste Vincent Payen a enregistré, avec son groupe Leeway & Friends, On The Road To Lee Morgan, une déclaration d’admiration à un jazzman mort à l’âge de 33 ans dans des conditions plutôt tragiques (sa femme l’ayant tué d’un coup de pistolet après une dispute) et qui, quand on y songe, est à considérer par-delà sa contribution au mouvement hard bop comme l’un des pères putatifs du funk.

    Vincent Payen publie aujourd’hui son deuxième disque, Find My Way. Après la route, le chemin donc, tout cela semble cohérent… Vous connaissez certainement ce musicien si par ailleurs vous vous intéressez à Electro Deluxe, une formation qui ne cesse de porter avec beaucoup d’aplomb (et de public) la voix d’une soul music décomplexée, en particulier depuis que le très charismatique James Copley en est le chanteur. Le trompettiste est en effet l’un des sept membres réguliers de ce groupe en fusion.

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  • Leeway & Friends

    Leeway_RoadtoMorgan.jpgLa courte vie de Lee Morgan – le trompettiste est mort à l’âge de 33 ans dans des circonstances tragiques puisque sa femme l’a tué d’un coup de pistolet après une violente dispute – pourrait faire l’objet d’un roman ou d’un film noirs. Mais l’histoire retiendra avant tout qu’en à peine plus d’une quinzaine d’années, non content d’enregistrer une trentaine d’albums en tant que leader, pour la plupart sur le label Blue Note, il aura côtoyé du début à la fin quelques-uns des personnages majeurs de l’histoire du jazz : Dizzy Gillespie, Art Blakey et les Jazz Messengers, Hank Mobley, Wayne Shorter, Joe Henderson, Jackie McLean et bien sûr John Coltrane, géant parmi les géants (pour l’album Blue Train en 1957).

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    leeway & friends, vincent payen, lee morgan, citizen jazz