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maître chronique

  • Mais est-ce donc bien Maître Chronique ?

    Il se passe de bien drôles de choses en ce moment... Imaginez-vous qu'un Lorrain, natif de Verdun et Citoyen de la bourgade de Nancy vient de lever le voile ! Oui, ce drôle de personnage n'a pas hésité à s'exhiber sur le plateau de l'émission "De vous à moi", animée par la sémillante Marylène Bergmann pour le compte de Mirabelle TV, avouant sa réelle identité - Maître Chronique - alors qu'il se cachait sous le nom d'emprunt qui lui permet de garder à la ville cet anonymat ô combien nécessaire que requiert sa renommée interplanétaire. Une sacrée prise de risque que nous apprécierons à sa juste valeur...

    Incroyable !

    "Né à Verdun, Denis Desassis vit aujourd’hui à Nancy et, en tant que journaliste, partage sa passion pour la musique au fil d’articles et de chroniques, qu’il publie dans un magazine en ligne, « Citizen Jazz », véritable référence en la matière. Sur un plan plus personnel et intime, il savoure aujourd’hui chaque seconde de sa vie. Lui, que la médecine avait condamné, alors qu’il n’avait que 21 ans. C’était il y a plus de 30 ans !"

  • Rediffusions

    rediffusion.jpgAprès tout, puisque la télévision donne l'exemple chaque année en se mettant en vacances d'été bien avant les enseignants et en reprenant beaucoup plus tard qu'eux... Besoin de repos, une bonne semaine pour changer d'air, histoire de revenir en forme, si notre monde ne s'est pas totalement effondré d'ici là. Mais bon, je ne suis pas inquiet, il se trouvera bien des âmes charitables pour nous organiser un camping de luxe en cas de catastrophe, comme en Italie tout récemment. On se demande même pourquoi nous, français, n'avons pas cette chance d'un petit tremblement de terre qui nous vaudrait effondrements divers, campements de fortune, morts, blessés par dizaines de milliers. Sont veinard nos voisins transalpins, vous ne trouvez pas ? C'est leur guide suprême aux implants qui l'a claironné voici quelques jours. Puisqu'il en va ainsi, je m'absente l'esprit léger, mais vous vous doutez bien je ne pouvais pas partir sans penser à vous, mes chers lecteurs... qui trouverez, chaque jour, comme d'habitude, un texte à lire... ou relire ! Oui, vous avez bien compris, je vais moi aussi pratiquer la politique de la rediffusion et pour ce faire, je vous ai sélectionné quelques écrits parmi les centaines mis en ligne depuis plus de quatre ans maintenant. Attention toutefois, certains textes vous demanderont un peu de temps, il peut m'arriver en effet de laisser aller mes phrases à quelques circonvolutions sévèrement digressives, déroutantes au début, avant que votre cerveau affûté ne s'adapte très vite à leurs parenthèses désenchantées... Je vous aurai prévenus ! Ah, tiens, j'y pense : vous voyez la petite télévision en lettrine sur cette note ? Elle sera le fil conducteur de toutes ces relectures. A bientôt donc...

  • Disparition

    rick_wright.jpgDécidément… Il va falloir que je m’habitue à apprendre que mes idoles de jeunesse quittent la scène, chacune à leur tour, inexorablement. Rick Wright, l’homme des claviers de Pink Floyd, vient d’avoir la très mauvaise idée de mourir d’un cancer à l’âge de 65 ans. Me reviennent aussitôt en mémoire ces heures passées avec mes copains de classe, debout et serrés comme des harengs, au Parc des Expositions de Nancy, à attendre puis écouter le groupe qui présentait son futur album, «The Dark Side of the Moon». C’était en décembre 1972, je n’avais pas quinze ans et il avait fallu batailler ferme auprès de mes parents pour qu’ils acceptent une sortie nocturne en pleine semaine, à 100 kilomètres de la maison (organisée toutefois avec mon lycée de l’époque).
    Salut l’artiste ! Pas sympa de nous laisser tomber si tôt et si la nouvelle n'était pas si triste, je te rappellerais bien ce mot de Pierre Dac qui disait que "mourir, c'est faire preuve d'un manque de savoir-vivre"...

  • Posthume

    leucocyte.jpgIl y a des jours où l’on aimerait pouvoir se raconter le feuilleton de la vie en prenant quelques libertés… Par exemple, on dirait qu’Esbjörn Svensson ne s’est pas tué stupidement il y a trois mois dans un accident de plongée. Tiens, on se dirait aussi qu’il a arrêté sa carrière de musicien pour se retirer du monde, parce qu’il avait envie de vivre une expérience spirituelle. Alors on écouterait Leucocyte, le dernier opus de son trio, sans le moindre pincement au cœur, sans imaginer tout ce qu’il aurait encore à nous dire, lui qui avait su inventer un univers où les catégories n’avaient plus d’importance.

    Voir le site d'E.S.T.

  • Intemporel

    pms_cover.jpgRien de plus facile que de passer à côté de «Rue Francoeur», le nouveau disque signé du pianiste chanteur compositeur Pierre-Michel Sivadier. Il suffit pour cela de ne lui prêter qu’une oreille distraite. Oui, prêter… Faites-lui donc plutôt ce beau et simple cadeau consistant à lui offrir votre écoute : viendra alors vers vous, sans rien attendre en retour, élégante, pudique et hors du temps, la belle musique de ses mots et de ses notes. A mille lieues des fabrications formatées de notre époque mercantile, magnifiées par le violoncelle de Valentine Duteil et la voix de Stella Vander, les chansons poétiques et éternelles de Pierre-Michel Sivadier s’insinuent en vous et vous habitent. Et l’on profitera de ce la sortie de ce beau disque pour (re)découvrir le premier opus de cet artiste, «D’amour Fou d’Amour». C’était il y a 13 ans. Déjà…

    Voir une présentation de "Rue Francoeur" - Commander les disques de Pierre Michel Sivadier