Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Elliott Murphy

elliott_murphy.jpgMais que vient donc faire un disque d’Elliott Murphy, le plus français des songwriters américains, héritier tout à la fois de Bob Dylan, Bruce Springsteen ou encore Lou Reed, dans les chroniques de Citizen Jazz ? Pas du jazz, nous dira-t-on ! Non, en effet, pas du jazz : juste un disque brillant, tendu comme un arc, à sa manière un disque parfait où s’entrecroisent avec beaucoup de fluidité ballades teintées de blues et rock’n’roll endiablés. Et une étonnante faculté d’enchaîner hits potentiels et classiques instantanés. Prêtez donc, pour vous en convaincre, une oreille à « Gone, Gone, Gone », « Train Kept A Rolling », « Rain Rain Rain », « Rock’n Roll ’N Rock’n Roll » ou encore au très dylanien « Poison’n Grace » qui déroule les paysages d’une Amérique cinématographique avec un fort pouvoir de séduction.

Lire la suite de cette chronique sur Citizen Jazz...

Et une petite vidéo, pour la route !

Les commentaires sont fermés.