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Synchronicité

Pas de panique, je ne vais pas me lancer dans une note à fort dosage jungien… C’est juste que j’aime observer des phénomènes dont l’apparition semble comme organisée, selon un calendrier mystérieux et parfois malicieux. Tenez par exemple : il y a à peine plus d’un an, 368 jours exactement, mon entourage proche complotait pour fêter mon cinquantième anniversaire et demandait à quelques amis de choisir un thème musical mais aussi d’écrire un petit texte à mon intention, histoire de fêter l'événement. Parmi ces complices figurait Henri Texier dont le choix s’était porté sur «In A Sentimental Mood», dans la version qu’en avaient donnée Duke Ellington et John Coltrane en 1962. Un an après, et très exactement au jour de mon anniversaire, arrivait dans ma boîte aux lettres (merci Hélène…) le nouveau disque d’Henri Texier, Love Songs Reflexions (que j’évoquerai ici prochainement). Un enregistrement dans lequel le contrebassiste et ses musiciens revisitent quelques standards du jazz, des «love songs», parmi lesquels figure en bonne place «In A Sentimental Mood»… A écouter cette nouvelle version, épurée et d’une sérénité émouvante, je me dis que le choix fait par Henri Texier un an plus tôt était de sa part un témoignage auquel je suis particulièrement sensible.

Commentaires

  • Ah bah jveux bien écouter! De bons souvenirs ce dantesque projet, avec la complicité d'un Msieur Fraise qui n'était pas encore couronné comme tel (au moins il savait dans quoi il allait tomber...)

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