Travaux
Un salut dominical à l’incomparable Albert Marcoeur, toujours bien entouré de ses frères, qui trace une drôle de route sur le chemin de la musique et de la chanson françaises. Assez loin, mais en apparence seulement, des explosions bouillonnantes et des délires de ses premiers albums au milieu des années 70, son nouvel opus appelé «Travaux Publics», faussement lisse, est un petit ovni qu’il n’est pas interdit de découvrir et qui nous rappelle que ce bourguignon sexagénaire est un magnifique tourneur de mots. Il est encore temps de partir à sa rencontre, j’en parle un peu plus en détail dans une récente chronique de Citizen Jazz.