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oiseau

  • Fientes

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    Avis de recherche ! La première personne qui m'aidera à mettre la main sur l'espèce de crétin d'oiseau qui, méthodiquement, sournoisement, lâchement, profite de notre absence pour se vider les tripes sur le mélèze de notre terrasse, se verra offrir un café (nous pousserons le luxe jusqu'à ajouter un petit gâteau pas très bon, un spéculoos ou quelque chose de ce genre, comme ceux qu'on vous refourgue dans les bars où l'on n'a même pas l'élégance de disposer un petit carré de chocolat près de votre soucoupe) au soleil de la dite terrasse (qui, entre temps et avant une nouvelle offensive de la bestiole, aura été dûment nettoyée, rude tâche au vu de la couleur et de la consistance des déjections). Pourtant, cet abruti de volatile a le choix des branches aux environs, notre aire de repos urbaine étant parfaitement, presque scientifiquement, encadrée d'une végétation qui devrait suffire à son bonheur intestinal et lui servir de nichoir à évacuation : une rangée de charmilles, un érable, un arbre de Judée, un acacia, un savonnier, un Mahonia, etc. Un peu plus loin, dans les jardins voisins, toute une végétation luxuriante l'attend feuilles grandes ouvertes. Non, le foireux animal s'est entiché de la seule branche, celle d'un cerisier fleur, qui surplombe notre discrète esplanade et semble s'amuser à la décorer perfidement. Retenez-moi ou je vais faire un malheur...