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houses of the holy

  • Inoxydable

    physical_graffiti.jpgDans un tout récent film, l'impayable Jean-Pierre Darroussin interprète le rôle d'un cuisinier poète à ses heures - au grand dam de son patron qui ne cesse de se lamenter sur la longueur du nom des plats du jour, plaignant ses clients qui disposent de peu de temps et n'auront plus le temps de manger une fois qu'ils auront réussi à finir de lire la carte - grand fan de Led Zeppelin. Si j'ai tendance à oublier assez vite les films que je vais voir, je pense que je garderai longtemps en mémoire cette scène où, découvrant l'appartement des parents de sa (très) jeune petite amie, notre héros met la main sur ce chef d'œuvre de la bande à Jimmy Page qu'est l'album Physical Graffiti, avec sa somptueuse pochette aux fenêtres découpées dans le cartonnage ! Et le voilà qui se remémore goulûment quelques uns des titres légendaires du disque : « Kashmir », « Houses ot the Holy », « In my time of dying »... J'avais acheté ce disque, un double trente-trois tours, au moment de sa sortie, en 1975, et vous ne serez peut-être pas étonnés d'apprendre que j'ai agrémenté mes trajets pédestres d'hier au son de cette musique qui a très bien résisté aux assauts du temps.