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black star

  • Black Starman ou le voyage d'hiver de David Bowie

    bowie_black_star.jpgJe suis très ennuyé. Et bien triste aussi... Dimanche après-midi, j’avais écrit quelques pages au sujet de Black Star, le nouveau disque de David Bowie, publié le jour-même de son soixante-neuvième anniversaire. Et ce faisant, j’en profitais pour rapprocher quelques temps forts de sa discographie (je n’ai jamais eu l’occasion de le voir sur scène) de ma petite histoire personnelle. Et voilà que David Jones nous quitte. J’ai appris cette nouvelle brutale lundi matin, dans la Matinale Culturelle de France Musique. Les hommages n’ont pas manqué de déferler... Les exégètes de tout poil (y compris ceux qui le brocardaient autrefois, j’ai des noms) dissèquent sa foisonnante et longue carrière (un demi-siècle, tout de même), en égrènent les hauts faits pour mieux surligner la dimension iconique d’un personnage protéiforme et presque surnaturel. Soixante-neuf, pas un âge pour mourir, bordel ! Après mure réflexion pendant deux jours, j’ai choisi de vous proposer la lecture de mon texte, qui ne vous apprendra rien d’important et ne changera absolument rien à la vie de ce monde, pas plus qu’il ne fera revenir Bowie à la vie (même si comme quelques autres, j'attends son imminente résurrection au quatrième jour), j’en conviens, mais sera une manière pour moi de rendre hommage à un chanteur qui m’aura accompagné durant toute la période commençant à mon adolescence, jusqu’à mon entrée dans le monde des adultes. Ce n’est pas rien, dans une vie.

    Voici donc ce que j’écrivais dimanche. Notez que si parfois je m’exprime au passé, ce n’est pas en raison de je ne sais quel talent prémonitoire, mais tout simplement parce que la musique de David Bowie me renvoie à une époque bien lointaine maintenant... donc à mon passé ! C’est un peu foutraque, je pensais y revenir pour faire une petite toilette à mon texte, mais non. Je le laisse en l’état, avec ses paragraphes qui pourraient être présentés dans un ordre différent, ses phrases certainement bancales et ses idées mal ordonnées. J’ai mis en évidence la partie de texte écrite en premier. Pour le reste, c’est trop tard.

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